Sortie A l'abordage ! - Sir James Blackwood

Bonsoir à tous !

Je me bats toujours avec une vilaine sinusite qui me met HS et me donne des vertiges ( sympa les oreilles qui se bouchent et se débouchent sans prévenir... !). Du coup je vais vous parler ce soir de la sortie A l'abordage ! où j'étais là aussi bien malade... :-) 

Cette sortie a eu lieu à Saint Malo, sur le thème, donc, des pirates. Encore une fois, tout a été organisé à distance, et j'ai eu la chance d'avoir de supers modèles et collaborateurs ! 
Ca a été une petite sortie, en comité restreint, avec au final pas mal de parisiens.
Le soleil était de la partie, les touristes asiatiques aussi... il a fallu que j'intervienne pour les chasser, impossible de shooter nos modèles tranquilles, ils s'interposaient entre nous et les modèles ! J'ai franchement été très déçue de leur attitude sans gêne, malgré mes explications dans un anglais plus que parfait ( mm... qui a rigolé ?! ), impossible de les déloger !
Faut dire qu'ils étaient chouettes, nos modèles, quand même :-)

Et sans plus attendre, je vous présente Sir James Blackwood !
Modèle : Adrien - Lucile

Le Royal Adventure of the seas s’était échoué sur les rochers de Saint Malo il y avait quelques semaines de ça.

Si Lord Crowley s’en accommodait fort bien, Sir James Blackwood, son second, avait beaucoup de mal à se faire à la vie dans la cité corsaire. Oh elle ne manquait pas d’intérêt, certes, cette « Lulu la Vertue » parviendrait sans doute à lui faire trouver le temps moins long… Mais la rusticité de l’auberge où il était hébergé contrastait tellement avec le confort de sa cabine ! Et son statut de second de vaisseau n’y changeait rien. Il avait beau se plaindre, le capitaine n’en avait cure, aveuglé qu’il était par sa rencontre avec la mystérieuse Elise. Blackwood passait donc ses journées à errer dans la ville fortifiée, à la recherche d’occupations dignes de son rang, à dilapider les quelques bijoux qu’il avait pu sauver du naufrage, rhum et jeux qu’il perdait la plupart du temps, ne comprenant pas un traître mot de la langue de ces sauvages de français ... Et ses soirées s’étiraient en compagnie de Lulu. Pas besoin de parler avec Lulu. Son sourire lui rappelait celui de la douce Katrina qu’il avait dû laisser derrière lui en embarquant. Mais ses manières étaient bien moins farouches ! 

A suivre...