A 2 jours de la sortie Steampunk, je vous présente Amielline, premier personnage de la sortie Mythologies, qui a eu lieu en septembre ( déjà !!!! ).
Amielline est incarnée par Florence, qui porte des bijoux De Bulles et de Rêve, et voici son histoire, imaginée par la talentueuse Tat's Eyes Photography :-)
Je vous recommande vivement de lire le texte, et ceux accompagnant chacun des personnages. Tatiana a vraiment fait un formidable travail d'écriture, créant des personnages ( 6 !! ) et des interactions entre chacun d'eux, reprenant les codes de la Mythologie.
Et je vais de ce pas programmer les articles de chaque personnage de cette sortie, pour la semaine prochaine !!!
"Chaque jour
depuis son enfance, Amielline foulait la montagne de ses pieds nus à la
recherche de plantes et d‘herbes.
D’abord avec son père, un apiculteur qui produisait le meilleur miel de la région, elle garda ce rituel au long de son adolescence et de sa vie de jeune femme en se promenant seule.
D’abord avec son père, un apiculteur qui produisait le meilleur miel de la région, elle garda ce rituel au long de son adolescence et de sa vie de jeune femme en se promenant seule.
Pleine
d’empathie et de compassion, Amielline était toujours prête à aider mortels et
animaux. Sa bonté n’avait d’égale que sa beauté. Des cheveux couleur du nectar
d’or encadraient un visage doux et harmonieux éclairé par deux pupilles
bleutées et un teint rosé par l’air frais des montagnes.
Amielline adorait les abeilles et ces dernières le lui rendaient bien. Lorsqu’elle chantait pour elles, la jeune femme pouvait récolter leur miel à même la ruche sans craindre une seule piqûre.
Elle avait appris à utiliser leur liqueur dorée comme soin. Et, de nombreux villageois venaient lui rendre visite pour bénéficier d’une potion médicinale ou d’un onguent dont elle seule avait le secret.
Amielline adorait les abeilles et ces dernières le lui rendaient bien. Lorsqu’elle chantait pour elles, la jeune femme pouvait récolter leur miel à même la ruche sans craindre une seule piqûre.
Elle avait appris à utiliser leur liqueur dorée comme soin. Et, de nombreux villageois venaient lui rendre visite pour bénéficier d’une potion médicinale ou d’un onguent dont elle seule avait le secret.
Amielline
vivait heureuse auprès de son père et même si elle était en âge de se marier et
très courtisée par les jeunes hommes de son village et des bourgs voisins, elle
ne voulait pas s’engager pour ne pas laisser son père seul. Sa mère les avait
quittés alors qu’Amielline n’était qu’une fillette, lors d’un hiver
particulièrement maudit des Dieux, emportée par une épidémie qui avait frappé
le village tout entier. Bien qu’elle
aurait pu se préserver, sa mère avait refusé d’abandonner les villageois à leur
sort alors qu’elle avait le don de soigner. Don qu’Amielline avait reçu en
héritage.
Et, son père avait alors dû veiller seul sur elle. Il était hors de question pour la jeune fille de le laisser livré à lui-même aujourd’hui.
Et, son père avait alors dû veiller seul sur elle. Il était hors de question pour la jeune fille de le laisser livré à lui-même aujourd’hui.
Pourtant,
celui-ci ne manquait jamais une occasion de pousser sa fille vers le mariage.
« - J’ai rencontré Térenpios ce matin, lui dit-il un soir lors du dîner.
Tu sais, le fils aîné des cultivateurs de blé au sud de la vallée. Il est très
séduisant et charmant. Peut être pourrais tu m’accompagner à ma prochaine
livraison de miel afin de le rencontrer ? »
Amielline
leva les yeux au ciel et dans un soupir d’exaspération lui dit :
« - Papa, je ne suis
toujours pas intéressée. Ma place est ici, dans cette montagne, auprès de
toi. »
« - Ce n’est pas aux
enfants de veiller sur leurs parents ! Je suis un homme adulte,
Amielline ! Ma vie est construite ! Quand prendras-tu la peine de
faire la tienne ? » gronda t’il en tapant du poing sur la table en
bois qui ornait leur modeste cuisine.
Et, comme à chaque fois, Amielline ne répondait pas, se levait et débarrassait les plats en silence comme si de rien était, devant la moue désapprobatrice de son père.
Seulement, ce soir là, elle ne savait pas que sa vie allait changer brusquement.
Quelques jours plus tard, lors de son excursion quotidienne dans la montagne, alors qu’elle cueillait des herbes curatives, Amielline aperçut une masse dans le ciel qui s’approchait d’elle.
Malgré le soleil éblouissant, elle reconnut un oiseau d’une taille immense.
Un aigle ! Il était si majestueux qu’elle ne pouvait détacher son regard de l’animal.
Mais elle se rendit compte rapidement que quelque chose n’allait pas. L’aigle tanguait et perdait de l’altitude pour finir par s’écrouler sur le sol plus loin dans la montagne.
Amielline s’empressa de partir à sa rencontre. Après quelques minutes d’une course effrénée, elle retrouva l’oiseau, gisant inerte sur le sol rocailleux.
Elle pria intérieurement pour qu’il ne soit pas mort.
S’approchant précautionneusement, elle le vit respirer faiblement. Elle se mit alors à chantonner doucement en espérant le rassurer et parvint à poser ses mains sur lui.
Un œil énorme la fixait. Apeuré mais implorant.
Une entaille assez profonde déchirait son abdomen.
Et, comme à chaque fois, Amielline ne répondait pas, se levait et débarrassait les plats en silence comme si de rien était, devant la moue désapprobatrice de son père.
Seulement, ce soir là, elle ne savait pas que sa vie allait changer brusquement.
Quelques jours plus tard, lors de son excursion quotidienne dans la montagne, alors qu’elle cueillait des herbes curatives, Amielline aperçut une masse dans le ciel qui s’approchait d’elle.
Malgré le soleil éblouissant, elle reconnut un oiseau d’une taille immense.
Un aigle ! Il était si majestueux qu’elle ne pouvait détacher son regard de l’animal.
Mais elle se rendit compte rapidement que quelque chose n’allait pas. L’aigle tanguait et perdait de l’altitude pour finir par s’écrouler sur le sol plus loin dans la montagne.
Amielline s’empressa de partir à sa rencontre. Après quelques minutes d’une course effrénée, elle retrouva l’oiseau, gisant inerte sur le sol rocailleux.
Elle pria intérieurement pour qu’il ne soit pas mort.
S’approchant précautionneusement, elle le vit respirer faiblement. Elle se mit alors à chantonner doucement en espérant le rassurer et parvint à poser ses mains sur lui.
Un œil énorme la fixait. Apeuré mais implorant.
Une entaille assez profonde déchirait son abdomen.
« - Je vais te soigner. Ca
ne va pas être très agréable mais si tu me fais confiance, je ferai tout mon
possible pour que tu puisses voler à nouveau d’ici quelques jours. » lui
murmura-t-elle
Elle sortit sa gourde d’eau et
entreprit de nettoyer la plaie avant d’y déposer un baume de sa confection.
Ensuite, elle alla récupérer des morceaux de bois et des feuilles d’arbres afin de lui fabriquer un abri, ne pouvant transporter cet animal aussi grand que deux hommes.
« -Je reviendrai demain, lui dit-elle en lui caressant la tête. Repose-toi à présent. »
Et le lendemain, elle revint. Elle lui clarifia sa plaie et appliqua, une fois encore, l’onguent. Ensuite, elle resta de longues minutes à ses côtés en lui caressant la tête avec douceur. L’animal était coopératif, comme s’il comprenait ses paroles et ses mots rassurants.
Ensuite, elle alla récupérer des morceaux de bois et des feuilles d’arbres afin de lui fabriquer un abri, ne pouvant transporter cet animal aussi grand que deux hommes.
« -Je reviendrai demain, lui dit-elle en lui caressant la tête. Repose-toi à présent. »
Et le lendemain, elle revint. Elle lui clarifia sa plaie et appliqua, une fois encore, l’onguent. Ensuite, elle resta de longues minutes à ses côtés en lui caressant la tête avec douceur. L’animal était coopératif, comme s’il comprenait ses paroles et ses mots rassurants.
Elle accomplit ce rituel
pendant trois jours. Le quatrième jour, l’animal commençait à aller mieux. Il
avait confiance en Amielline et la jeune fille était heureuse de constater que
son état s’améliorait. Bientôt, il pourrait s’envoler de nouveau et regagner
les siens.
Le coucher du soleil s’apprêtait à peindre le ciel quand Amielline décida de rentrer. Mais, ce ne fut sans compter, l’apparition soudaine d’un énorme orage qui la contraint à rester abritée avec l’oiseau.
La pluie tombait lourdement et le tonnerre grondait puissamment.
Le coucher du soleil s’apprêtait à peindre le ciel quand Amielline décida de rentrer. Mais, ce ne fut sans compter, l’apparition soudaine d’un énorme orage qui la contraint à rester abritée avec l’oiseau.
La pluie tombait lourdement et le tonnerre grondait puissamment.
« - Zeus doit être très en
colère… J’espère qu’il va vite se calmer, que je puisse rentrer avant que mon
père ne s’inquiète. » dit elle le nez à l’extérieur de l’abri de fortune.
« - Le connaissant, ça m’étonnerait ! » maugréa une voix dans son dos.
« - Le connaissant, ça m’étonnerait ! » maugréa une voix dans son dos.
Amielline sursauta et se figea.
Elle ne s’attendait pas à avoir de réponse. Et encore moins, d’un oiseau.
La peur lui griffait les entrailles mais elle se retourna lentement.
Et là, à la place de l’aigle, se tenait un jeune homme entièrement nu.
Instinctivement, elle cacha ses yeux de ses mains, tout en espaçant suffisamment ses doigts pour admirer le spectacle qui s’offrait à elle.
C’était le jeune homme le plus beau qu’elle ait jamais vu ! Le trouble qui avait émergé en elle avait fait disparaître tout sentiment de peur.
- « Mais qui êtes-vous ? Où est l’aigle ? Je… » balbutia-t-elle.
- « Rassure toi, je ne te ferai aucun mal. Je suis l’aigle. Regarde ma blessure… Je m’appelle Aétos.
Je suis un mortel, tout comme toi, mais Zeus m’a choisi pour être près de lui. Je suis Aigle le jour et je redeviens homme la nuit. Je suis désolé si je t’ai effrayée. Je ne connais même pas ton nom alors que tu as sauvé ma vie. »
La peur lui griffait les entrailles mais elle se retourna lentement.
Et là, à la place de l’aigle, se tenait un jeune homme entièrement nu.
Instinctivement, elle cacha ses yeux de ses mains, tout en espaçant suffisamment ses doigts pour admirer le spectacle qui s’offrait à elle.
C’était le jeune homme le plus beau qu’elle ait jamais vu ! Le trouble qui avait émergé en elle avait fait disparaître tout sentiment de peur.
- « Mais qui êtes-vous ? Où est l’aigle ? Je… » balbutia-t-elle.
- « Rassure toi, je ne te ferai aucun mal. Je suis l’aigle. Regarde ma blessure… Je m’appelle Aétos.
Je suis un mortel, tout comme toi, mais Zeus m’a choisi pour être près de lui. Je suis Aigle le jour et je redeviens homme la nuit. Je suis désolé si je t’ai effrayée. Je ne connais même pas ton nom alors que tu as sauvé ma vie. »
-« Amielline… »
Et, s’ensuivit une nuit
d’échanges et de confidences. Amielline se sentait tellement bien auprès
d’Aétos qu’elle ne vit pas les heures passer. Le jour lui sembla arriver aussi
vite que le galop d’un cheval.
Et Aétos redevint un oiseau. Même en aigle, il était d’une beauté à couper le souffle.
Amielline rentra chez elle. Elle trouva son père rongé par l’inquiétude.
-« Désolée, papa. Je me suis faite surprendre par l’orage et je me suis mise à l’abri dans les montagnes. Je me suis endormie de fatigue… »
Et toute la journée, elle ne pensa qu’à Aétos.
Et Aétos redevint un oiseau. Même en aigle, il était d’une beauté à couper le souffle.
Amielline rentra chez elle. Elle trouva son père rongé par l’inquiétude.
-« Désolée, papa. Je me suis faite surprendre par l’orage et je me suis mise à l’abri dans les montagnes. Je me suis endormie de fatigue… »
Et toute la journée, elle ne pensa qu’à Aétos.
-« Je vais m’aventurer
plus loin dans les montagnes, je recherche de nouvelles plantes guérisseuses. Ne
m’attends pas cette nuit. » dit elle en embrassant son père avant de
reprendre la direction de la montagne.
Arrivée à l’abri, elle trouva Aétos, toujours sous sa forme d’aigle. Elle le soigna et constata avec presque une pointe de déception qu’il était presque rétabli et pourrait très bientôt reprendre sa route.
La nuit arriva enfin et la forme humaine du jeune homme avec elle.
Ils partagèrent ainsi encore quelques nuits à parler à cœur ouvert et à rire comme deux enfants.
Arrivée à l’abri, elle trouva Aétos, toujours sous sa forme d’aigle. Elle le soigna et constata avec presque une pointe de déception qu’il était presque rétabli et pourrait très bientôt reprendre sa route.
La nuit arriva enfin et la forme humaine du jeune homme avec elle.
Ils partagèrent ainsi encore quelques nuits à parler à cœur ouvert et à rire comme deux enfants.
Un soir, après un dîner encore ponctué
de fous rires, le visage d’Aétos se couvrit d’un voile taciturne.
-« Tu as l’air soucieux…
Que se passe t-il ? » demanda Amielline, anxieuse.
- « Zeus doit être inquiet. Il ne m’a pas vu depuis des jours. Je sais qu’il me cherche. Et, je dois rentrer. Mais je n’en ai pas vraiment envie. Je suis bien près de toi, Amielline. Je n’ai jamais ressenti cela auparavant. »
Son authenticité était si palpable que le cœur de la jeune fille fondit sous cette confidence.
- « Zeus doit être inquiet. Il ne m’a pas vu depuis des jours. Je sais qu’il me cherche. Et, je dois rentrer. Mais je n’en ai pas vraiment envie. Je suis bien près de toi, Amielline. Je n’ai jamais ressenti cela auparavant. »
Son authenticité était si palpable que le cœur de la jeune fille fondit sous cette confidence.
-« Je le serai à sa place…
Tu dois regagner ta vie. Je comprends cela. Tu me manqueras beaucoup. » Souffla
t’elle les yeux larmoyants.
Aétos la serra dans ses bras. Leur affection était déjà si intense et tellement spontanée. Et, c’est tout naturellement que leurs lèvres se lièrent.
Le reste de leur nuit se colora de tendresse et de passion.
Aétos la serra dans ses bras. Leur affection était déjà si intense et tellement spontanée. Et, c’est tout naturellement que leurs lèvres se lièrent.
Le reste de leur nuit se colora de tendresse et de passion.
Lorsqu’Amielline ouvrit les
yeux au petit matin, elle était seule. Aétos était parti. Son cœur éclata de
tristesse. Tout était fini. Jamais plus elle ne le reverrait.
Elle rentra chez elle et se laissa aller à son chagrin.
Elle rentra chez elle et se laissa aller à son chagrin.
Les jours et les nuits qui
suivirent furent longs et tout autant chargés de larmes. Amielline gardait sa
chambre en prétextant être malade.
Un soir, son père se présenta à elle :
-« La maladie d’amour est la plus douloureuse des souffrances, ma petite… Nourris ton cœur de ce qui le fait vibrer. Toujours. Sinon ton agonie sera lente et douloureuse. Provoque ton bonheur. Peu importe le prix à payer. Je suis un homme heureux, Amielline. Ma vie m’apporte toute sorte de satisfactions. Il ne me manque plus que de te savoir heureuse toi aussi pour être pleinement comblé. »
Devant la bienveillance de ce père aimant, Amielline confessa son aventure et l’amour qu’elle portait à Aétos.
Un soir, son père se présenta à elle :
-« La maladie d’amour est la plus douloureuse des souffrances, ma petite… Nourris ton cœur de ce qui le fait vibrer. Toujours. Sinon ton agonie sera lente et douloureuse. Provoque ton bonheur. Peu importe le prix à payer. Je suis un homme heureux, Amielline. Ma vie m’apporte toute sorte de satisfactions. Il ne me manque plus que de te savoir heureuse toi aussi pour être pleinement comblé. »
Devant la bienveillance de ce père aimant, Amielline confessa son aventure et l’amour qu’elle portait à Aétos.
-« Aie foi en la vie, ma
fille. »
Cette nuit là, Amielline
s’endormit plus aisément. Son cœur s’était allégé de s’être épanché.
Mais elle fut réveillée au beau milieu de son sommeil.
Un vieil homme se tenait au centre de sa chambre. Une grande barbe ornait son visage et il tenait dans sa main un énorme trait d’éclair.
-« Zeus… » murmura Amielline les yeux écarquillés.
Mais elle fut réveillée au beau milieu de son sommeil.
Un vieil homme se tenait au centre de sa chambre. Une grande barbe ornait son visage et il tenait dans sa main un énorme trait d’éclair.
-« Zeus… » murmura Amielline les yeux écarquillés.
-« Jeune mortelle
Amielline, je me dévoile à toi pour tout d’abord te remercier d’avoir sauver
Aétos, mon aigle. Mais, il se meurt aujourd’hui d’un autre mal. Et, je suis ici
pour le sauver. ». La voix de Zeus résonnait puissante et grave.
-« Que lui arrive-t-il ? Sa blessure était pourtant guérie... Je… » répondit Amielline inquiète.
- « Il meurt d’amour. » la coupa le Dieu.
Amielline resta sans voix. Son cœur se remplit de bonheur en entendant ces mots.
- « Je suis ainsi venu chercher un remède et te proposer une offre.
Ce remède n’est autre que toi, jeune mortelle. Ma proposition est par conséquent la suivante.
Je te donne le statut de Déesse au royaume des Dieux en gage de ma gratitude.
Je te nomme Gardienne des Sources d’Hydromel qui confèrent l’immortalité.
Et, tu deviendras céans l’épouse d’Aétos qui sera à tes côtés durant ses nuits d’Homme.
Rassure-toi pour ton père. Il rencontrera une femme qui prendra soin de lui. »
-« Que lui arrive-t-il ? Sa blessure était pourtant guérie... Je… » répondit Amielline inquiète.
- « Il meurt d’amour. » la coupa le Dieu.
Amielline resta sans voix. Son cœur se remplit de bonheur en entendant ces mots.
- « Je suis ainsi venu chercher un remède et te proposer une offre.
Ce remède n’est autre que toi, jeune mortelle. Ma proposition est par conséquent la suivante.
Je te donne le statut de Déesse au royaume des Dieux en gage de ma gratitude.
Je te nomme Gardienne des Sources d’Hydromel qui confèrent l’immortalité.
Et, tu deviendras céans l’épouse d’Aétos qui sera à tes côtés durant ses nuits d’Homme.
Rassure-toi pour ton père. Il rencontrera une femme qui prendra soin de lui. »
A cette annonce, les dernières
réticences d’Amielline s’envolèrent.
Lorsqu’elle posa sa main dans celle de Zeus pour le
suivre, sa vie changea à tout jamais."
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